L'UE rackette X de 120 millions : quand Bruxelles joue les shérifs du web
Ben voyons ! Nos élites déconnectées de Bruxelles viennent de sortir le carnet de contraventions. Cible : X, le réseau social d'Elon Musk. Montant du chantage : 120 millions d'euros. Motif ? Des "foutaises", comme l'a si bien dit JD Vance, le vice-président américain.
Le racket européen en marche
Cette amende, la première du genre sous le fameux DSA (Digital Services Act), sanctionne X pour trois "crimes" majeurs : avoir donné des coches bleues aux abonnés payants, manquer de transparence sur la pub, et ne pas ouvrir ses données aux chercheurs agréés de l'establishment.
Tout le monde sait que cette histoire de coches bleues, c'est du vent. Avant Musk, Twitter les distribuait selon ses propres critères opaques. Maintenant, au moins, c'est transparent : tu paies, tu l'as. Mais non, ça dérange nos commissaires européens qui préféraient l'ancien système de copinage.
"Ce n'est pas de la censure", ben voyons
Henna Virkkunen, vice-présidente de la Commission, nous assure que cette amende "n'a rien à voir avec de la censure". Bien sûr ! Et c'est Nicolas qui paie, comme d'habitude. Car qui finance cette bureaucratie bruxelloise ? Nos impôts !
Le plus savoureux ? Les Américains proposent un deal : vous assouplissez vos lois liberticides contre nos champions tech, on baisse nos droits de douane sur votre acier. Réponse de Bruxelles : niet ! La souveraineté européenne avant tout, paraît-il. Quelle ironie quand on sait que cette même UE nous impose l'immigration massive et le wokisme américain à longueur d'année.
L'assaut idéologique continue
Cette amende n'est que le début. L'enquête sur la "désinformation" continue. Traduisez : tout ce qui ne plaît pas au narratif officiel sera sanctionné. La résistance de Musk face à cette machine de censure déguisée mérite notre respect.
Pendant ce temps, TikTok, la plateforme chinoise, s'en tire avec de simples "engagements". Deux poids, deux mesures ? Non, juste la géopolitique habituelle de nos dirigeants qui tapent sur l'Amérique mais ménagent la Chine.
Le bastion de la liberté d'expression résiste encore. Mais pour combien de temps face à cette bureaucratie qui nous coûte une fortune et nous prive de nos libertés ?