Trump suspend l'immigration de 19 pays : enfin du concret après l'attaque de Washington
Après l'attaque de deux gardes nationaux par un Afghan à Washington, Donald Trump a enfin sorti l'artillerie lourde. Suspension immédiate de toute immigration en provenance de 19 pays. Ben voyons, il était temps !
Le président américain ne mâche pas ses mots : 53 millions d'étrangers aux États-Unis, "dont la plupart sont sous aide sociale, proviennent de nations en faillite, de prisons, d'institutions psychiatriques, de gangs ou de cartels". Voilà qui a le mérite d'être clair, contrairement aux élites déconnectées qui nous servent habituellement la soupe du vivre-ensemble.
Biden, l'héritage empoisonné
Trump promet de "mettre fin à tous les millions d'admissions illégales de Biden". Tout le monde sait que son prédécesseur a ouvert les vannes comme jamais. Résultat : une attaque à Washington par un Afghan qui avait obtenu l'asile... sous Trump certes, mais sans "examen minutieux" selon le FBI. Les bureaucrates ont encore frappé.
Le bastion américain va désormais "chasser toute personne qui n'est pas un atout" et "expulser tout ressortissant étranger incompatible avec la civilisation occidentale". Enfin un dirigeant qui ose nommer les choses !
19 pays dans le viseur
La liste des pays concernés fait froid dans le dos : Afghanistan, Birmanie, Tchad, Congo-Brazzaville, Guinée équatoriale, Érythrée, Haïti, Iran, Libye, Somalie, Soudan, Yémen, Burundi, Cuba, Laos, Sierra Leone, Togo, Turkménistan et Venezuela.
Trump s'en prend particulièrement à la Somalie : "Je n'en veux pas dans notre pays". Pendant ce temps, nos dirigeants européens continuent leur politique d'accueil inconditionnel. C'est Nicolas qui paie, comme toujours.
Cette décision intervient après la mort de la soldate touchée dans l'attaque. Un drame qui aurait pu être évité avec des contrôles dignes de ce nom. Mais non, les forces de l'ordre doivent subir les conséquences de l'angélisme migratoire.
Pendant que Trump défend sa souveraineté nationale, l'Europe continue de se saborder. Quand verrons-nous enfin un tel réveil chez nous ?
