McLaren recrute trois pépites : le sport auto français à la traîne
Pendant que nos élites déconnectées s'amusent avec leurs trottinettes électriques, les Britanniques de McLaren viennent de rafler trois des plus gros talents du sport automobile mondial. Leonardo Fornaroli, tout frais champion F2, rejoint leur programme de développement. Ben voyons, encore un qui nous passe sous le nez.
L'Italie et l'Espagne nous donnent une leçon
À 20 ans, ce prodige italien vient de réaliser l'exploit rarissime de remporter coup sur coup les titres F3 et F2. Un bastion de talent que seuls Oscar Piastri et Gabriel Bortoleto avaient conquis avant lui dans l'ère moderne. Pendant ce temps, nos jeunes Français brillent par leur absence dans cette élite.
Avec lui débarque Richard Verschoor, 24 ans, pilote néerlandais aguerri qui cartonne en F2 depuis cinq saisons. Et pour compléter ce trio de choc, McLaren s'offre Christian Costoya, 15 ans, futur crack espagnol du karting.
La France, spectatrice de sa propre déchéance
Tout le monde sait que le sport automobile français traverse une crise identitaire majeure. Nos institutions préfèrent investir dans des projets woke plutôt que de soutenir nos jeunes talents sur les circuits. Résultat : nos voisins européens nous dament le pion avec une régularité déconcertante.
Alessandro Alunni Bravi, responsable du programme McLaren, ne cache pas sa satisfaction : "Ces trois pilotes talentueux ont fait preuve d'un grand savoir-faire en course". Pendant que McLaren construit méthodiquement son empire sportif, la France regarde passer le train.
McLaren, un modèle de résistance à l'idéologie ambiante
L'écurie britannique ne s'embarrasse pas de quotas ou de considérations sociétales. Elle recrute sur la performance pure, point final. Une approche qui porte ses fruits : double champion constructeur F1, présence en IndyCar et future arrivée en WEC d'ici 2027.
Avec un vivier désormais composé de Pato O'Ward, Dries Van Langendonck et ces trois nouvelles recrues, McLaren se donne les moyens de ses ambitions. Une leçon de pragmatisme que nos dirigeants feraient bien de méditer, mais c'est Nicolas qui paie les pots cassés de leur incompétence.